Gherhartd Sildoenfein Oh je viens de comprendre! Tu as écrit "PbTA" et effectivement ça n'existe pas le "PbTA". C'est le "PbtA" qui existe. Vicieux, va! :p
Plus sérieusement, PbtA (diantre Tiburce, je n'avais jamais remarqué le t minuscule, je capitalisais le The comme j'avais appris à le faire pour un titre en anglais), c'est juste une étiquette que l'auteur·e.d'un jeu peut aposer.sur celui-ci s'il veut, notamment pour signaler l'influence qu'AW a pu avoir sur le design. Quelque part, un·e auteur·e qui considérerait chaque particule du design (de la manière de designer) d'AW comme le contraire de ce qu'il faut faire et créerait son jeu en réaction serait, pourrait être aussi du PbtA. Cette étiquette ne désigne rien d'autre. À première vue.
Sauf que les jeux estampillés d'icelle ont quand même certains points communs, et cela peut être intéressant de regarder lesquels, d'analyser comment et pourquoi, de tester...
Reste que je trouve que discuter pour déterminer si un jeu "est vraiment du PbtA" est vraiment stérile, ce qui provoque ma réaction " le PbtA ça n'existe pas". Tout en étant conscient du paradoxe et du côté pinailleur de cette réaction. D'où mon auto-assimilation à Vernon Dursley.
Et oui j'en parlerai normalement prochainement sur Radio-Rôliste.
Tout à fait. C'est une étiquette fluide. Pas une science exacte ni même une étiquette avec des critères figés.
J'ai l'impression que le PbtA, ça correspond surtout à des principes (une part objective) et à un peu de ressenti aussi (une part subjective). Et que tu peux plus ou moins écarter un plus ou moins grand nombre de principes tout en restant du PbtA tant que les joueurs gardent ce ressenti.
On pourrait dresser des listes pour voir quel élément a été écarté et que tel jeu est toujours, pourtant, du PbtA. Undying et Godsend ont dégagé la mécanique de l'aléa, par exemple. Inversement, même si on retrouve pas mal de principes PbtAiens dans Blades in the Dark, je sais pas, mais mon ressenti est que la conversation est suffisamment différente pour vraiment le voir comme un cousin trèèès éloigné (suffisamment pour ne pas le classer dans les PbtA à dire vrai).
Mais au final, je te rejoins sur le fait que ça n'est pas très intéressant de vouloir déterminer exactement ce qui fait ou non un PbtA. Et si tel ou tel jeu est un PbtA ou pas.
À mon sens cela dépend aussi énormément de comment j'observe un jeu. - d'un côté, ce que j'examine : à partir de l'expérience de jeu , de l'apparence des mécaniques, des objectifs tactiques de design ou des objectifs stratégiques de design ? - de l'autre, à partir de quel point de vue, avec quels référents ? à partir des jeux estampillés PbtA ou dans l'ensemble des jdr existants ?
Par exemple, je dirais que BitD est très clairement hors du peloton des jeux PbtA, mais que par rapport à l'ensemble des jdr que je connais, il est plus proche des PbtA que des autres types de jeu.
Pour moi, le seul intérêt de la question, c'est le chemin, l'analyse effectuée, la réponse finale par contre m'est indifférente.
Point de vue du noob pbta: je trouve que cela dessert les jeux estampillés pbta pour les joueurs mainstreaming genre " attention jdr pour public averti" ou me trompe-je?
La seule façon d'avoir une réponse est d'interroger ce public là pour savoir comment il le perçoit... À mon avis, l'étiquette PbtA n'est jamais au pire qu'un logo sur la couverture ou un buzzword dans une description. Par contre, la façon dont il est utilisé peut changer les choses. Mettre cela en avant dans une communication visant un public plus large que les apocalyptogeeks, c'est probablement maladroit.
Biesse!
RépondreSupprimerNon non je t'assure 😉
RépondreSupprimerLa sagesse du père Dudley est incomparable.
RépondreSupprimerMais au-delà de cette affirmation... As-tu des arguments plus développé ?
RépondreSupprimerJe serai curieux de savoir ce que tu as dernière la tête...
Derrière la tête ? Une pelle avec une vélocité certaine... ^^
RépondreSupprimerXavier Van Roy oui. Mais la curiosité est un très, très, très vilain défaut ;)
RépondreSupprimerAllons, si un mème était utilisé pour argumenter et favoriser la discussion, ça se saurait! ;)
RépondreSupprimerGherhartd Sildoenfein ... Je te répondrai par ces deux citations
RépondreSupprimerOn ne force pas une curiosité, on l’éveille.
Ce qui s'applique pas mal à un poste posé là... Simplement comme ça...
Mais aussi ...
A l'origine de toute connaissance, nous rencontrons la curiosité ! Elle est une condition essentielle du progrès.
Gherhartd Sildoenfein Oh je viens de comprendre! Tu as écrit "PbTA" et effectivement ça n'existe pas le "PbTA". C'est le "PbtA" qui existe. Vicieux, va! :p
RépondreSupprimerEt d'ailleurs en français c'est quoi? PplA?! Français monsieur !
RépondreSupprimerC'est l'angle de ta prochaine chronique sur Radio rôliste ?
RépondreSupprimerPlus sérieusement, PbtA (diantre Tiburce, je n'avais jamais remarqué le t minuscule, je capitalisais le The comme j'avais appris à le faire pour un titre en anglais), c'est juste une étiquette que l'auteur·e.d'un jeu peut aposer.sur celui-ci s'il veut, notamment pour signaler l'influence qu'AW a pu avoir sur le design. Quelque part, un·e auteur·e qui considérerait chaque particule du design (de la manière de designer) d'AW comme le contraire de ce qu'il faut faire et créerait son jeu en réaction serait, pourrait être aussi du PbtA. Cette étiquette ne désigne rien d'autre. À première vue.
RépondreSupprimerSauf que les jeux estampillés d'icelle ont quand même certains points communs, et cela peut être intéressant de regarder lesquels, d'analyser comment et pourquoi, de tester...
Reste que je trouve que discuter pour déterminer si un jeu "est vraiment du PbtA" est vraiment stérile, ce qui provoque ma réaction " le PbtA ça n'existe pas". Tout en étant conscient du paradoxe et du côté pinailleur de cette réaction. D'où mon auto-assimilation à Vernon Dursley.
Et oui j'en parlerai normalement prochainement sur Radio-Rôliste.
Tout à fait. C'est une étiquette fluide. Pas une science exacte ni même une étiquette avec des critères figés.
RépondreSupprimerJ'ai l'impression que le PbtA, ça correspond surtout à des principes (une part objective) et à un peu de ressenti aussi (une part subjective). Et que tu peux plus ou moins écarter un plus ou moins grand nombre de principes tout en restant du PbtA tant que les joueurs gardent ce ressenti.
On pourrait dresser des listes pour voir quel élément a été écarté et que tel jeu est toujours, pourtant, du PbtA. Undying et Godsend ont dégagé la mécanique de l'aléa, par exemple.
Inversement, même si on retrouve pas mal de principes PbtAiens dans Blades in the Dark, je sais pas, mais mon ressenti est que la conversation est suffisamment différente pour vraiment le voir comme un cousin trèèès éloigné (suffisamment pour ne pas le classer dans les PbtA à dire vrai).
Mais au final, je te rejoins sur le fait que ça n'est pas très intéressant de vouloir déterminer exactement ce qui fait ou non un PbtA. Et si tel ou tel jeu est un PbtA ou pas.
De toute façon, on s"'en fout du pBtA, ce qui compte vraiment, c'est d'avoir un bon MJ
RépondreSupprimer(ok, je -> [] )
À mon sens cela dépend aussi énormément de comment j'observe un jeu.
RépondreSupprimer- d'un côté, ce que j'examine : à partir de l'expérience de jeu , de l'apparence des mécaniques, des objectifs tactiques de design ou des objectifs stratégiques de design ?
- de l'autre, à partir de quel point de vue, avec quels référents ? à partir des jeux estampillés PbtA ou dans l'ensemble des jdr existants ?
Par exemple, je dirais que BitD est très clairement hors du peloton des jeux PbtA, mais que par rapport à l'ensemble des jdr que je connais, il est plus proche des PbtA que des autres types de jeu.
Pour moi, le seul intérêt de la question, c'est le chemin, l'analyse effectuée, la réponse finale par contre m'est indifférente.
Point de vue du noob pbta: je trouve que cela dessert les jeux estampillés pbta pour les joueurs mainstreaming genre " attention jdr pour public averti" ou me trompe-je?
RépondreSupprimerLa seule façon d'avoir une réponse est d'interroger ce public là pour savoir comment il le perçoit... À mon avis, l'étiquette PbtA n'est jamais au pire qu'un logo sur la couverture ou un buzzword dans une description. Par contre, la façon dont il est utilisé peut changer les choses. Mettre cela en avant dans une communication visant un public plus large que les apocalyptogeeks, c'est probablement maladroit.
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