Pages

21 septembre 2017

Tiens, parmi les éditeurs de jdr francophones, lesquels font des efforts pour la diversité parmi les personnes...

Tiens, parmi les éditeurs de jdr francophones, lesquels font des efforts pour la diversité parmi les personnes qu'ils emploient, que ce soient des indépendant.e.s ou des employé.e.s, tous métiers et domaines confondus ? Lesquels font attention à recruter parmi les discriminé.e.s ?

4 commentaires:

  1. J'y suis sensible, mais je n'ai pas encore fait d'effort en ce sens.
    Mes illustrateurs sont tous des potes (sauf Keny qui est un pote d'internet).
    Pour l'impression, je travaille avec une entreprise locale. Mais j'ai regardé pour travailler avec une ETA sur de prochains projets. Il y en a deux en Wallonie (CARP à Philippeville et Die Zukunft à Meyerode).
    Voilà tout ce que je peux en dire.

    Ah non, si vous connaissez des illustratrices qui font dans le même style que Keny ou dans le style Moebius/Caza, je suis preneur.

    RépondreSupprimer
  2. Hé bhè, ça ne se bouscule pas au portillon, n'est-ce-pas ? En tous cas bravo Bastien - ça devient une habitude de t'applaudir, dis donc ;)

    J'ai cru voir brièvement un commentaire de Fabrice Brabon, qui a été effacé ???

    J'ai pu lire un mot dans la notification : "éditrice", ce qui m'a mis en réflection sur l'utilisation du genre pour ce terme... Je pensais plus aux maisons / structures / sociétés / organisations ou au rôle / à la fonction qu'aux personnes, c'est pour cela que je n'ai pas décliné "éditrices ou éditeurs"... mais dans 5 cas sur 6 sur mon explication cu-dessus, j'aurais dû accorder au féminin. Donc... "éditrices". Vous en pensez quoi ?

    RépondreSupprimer
  3. en ce qui me concerne, c'est délicat parce que par défaut, je bosse en solo, et je ne collabore avec des personnes que quand celles-ci viennent me solliciter. Et je dois bien reconnaître que c'est plus souvent des hommes que des femmes. Le petit regret que j'ai, et c'est hélas trop tard pour faire machine arrière, c'est qu'on est en train d'organiser une convention privée et on a envoyé les invitations à un nombre de personnes limitées. Or, on a omis de veiller à la parité. On a juste invité les personnes qui nous venaient à l'esprit. Guess what ? Environ 3/4 d'hommes :/ Si on renouvelle cette convention privée, ce serait pas mal de se poser la question de la parité dans les invitations.

    RépondreSupprimer
  4. La rubrique « portrait de roliste » du fanzine altaride avait à coeur d'alterner entre roliste masculin et féminin.

    RépondreSupprimer